Amnesty International a dénoncé mercredi des violations des droits humains commises par les forces de sécurité du Bénin et du Togo dans le cadre de la lutte contre les groupes armés responsables d’attaques meurtrières dans le nord de ces pays.
L’ONG dénonce notamment des arrestations et détentions arbitraires, ciblant des membres de la communauté peule stigmatisée, car parfois accusée de complicité avec les groupes armés.
Elle dénonce également une restriction du droit de manifester au Togo, et de la liberté d’expression au Bénin, après l’arrestation début 2022 de journalistes dans le nord du pays.
Amnesty souhaite sans doute que les Forces armées togolaises accueillent les jihadistes avec des fleurs et des friandises. Et pourquoi pas avec un chèque-cadeau !
S’agissant du droit de manifester, il n’existe aucune entrave. La préoccupation des responsables de la sécurité est d’éviter que les rassemblement constituent des cibles potentiels pour les organisations extrémistes. Du simple bon sens.
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